La gazette du pays de Quimperlé

L'actualité du pays de Quimperlé sous un autre angle

Vous croyez encore au Père Noël ?

Vous croyez encore au Père Noël ?

Comme le hasard fait bien les choses. Un timing au cordeau. « Quimperlé a toujours su accueillir comme il se doit ses nouveaux arrivants». Lesquels ?

Dans le cadre de la semaine internationale, nous sommes invités à nous intéresser aux autres communautés, en l’occurrence celles de l’Afrique du nord, pour mieux comprendre les codes de la culture orientale. Tout est orchestré afin que les citoyens du pays de Quimperlé, à la fin de chaque programmation, finissent par se dire : « Des gens comme nous … » En fait c’est la découverte d’un monde merveilleux comme les enfants devant le sapin de Noël lorsqu’ils ouvrent leurs cadeaux. Toutes ces séquences ont pour objectif que les stéréotypes soient remisés. Tout est harmonisé afin que ces rencontres aboutissent à une acceptation indéniable de la diversité. Sinon, gare à vous !

Chose promise, chose due. Michaël Quernez s’était porté volontaire au nom de sa municipalité pour accueillir 2 familles de demandeurs d’asile de 10 personnes syriennes. La semaine tombe à pic : le lancement de cette semaine festive permet de servir le met « réfugiés » à la sauce « nécessité ».

De New York en passant par Strasbourg, Bruxelles et même Paris, le même discours de nos élites bien pensantes arrive jusqu’à Quimperlé. En bon petit soldat, le maire de Quimperlé, nous rejoue pour la énième fois, la partition de l’obligation de recevoir l’afflux de migrants sur notre fief. Les autres socialistes du territoire ne sont pas en reste. La culpabilisation des citoyens est toujours le maître mot. Comment continuer à prendre les citoyens pour des crédules. Tout le monde sait ou presque, que ces migrants même déboutés de leurs demande d’asile, resteront sur le territoire. Qui va payer l’addition ? Comment des élus peuvent continuer à cautionner de telles duperies alors même que notre territoire n’arrive déjà pas à assouvir une quiétude à ses concitoyens. L’association « Cent pour un toit », va même jusqu’à aider des familles de demandeurs d’asile déboutés de leur demande donc en situation irrégulière sur le territoire, demandent à la population du pays de Quimperlé de se cotiser pour offrir un hébergement à ces derniers. Les citoyens des 16 communes de la Cocopaq sont-ils bien logés ? Pas sûr …

Notre édile Quimperloise, estime que 100 demandeurs d’asile plus deux autres familles c’est en réalité peu pour une ville comme Quimperlé. Ce qu’il oublie de préciser à ses administrés, une fois encore, c’est que l’accueil n’est qu’à ses balbutiements puisque l’afflux est loin d’être à son terme.

Pour ma part, lorsque j’invite c’est moi qui paie l’addition et en aucun cas je la laisse à mes voisins de tablée.

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C
Je suis breton de souche, mais je pense que les nouveaux migrants fuient le même genre de terroristes que ceux qui viennent de frapper à Paris. Cela coûte de l'argent de les accueillir, et je suis content de payer des impôts pour ça.
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L
C'est votre liberté de penser que d'estimer que l'accueil de migrants en France est une obligation et que vos impôts puissent y contribuer. Pour part, compte tenu de la situation sociale, économique, politique de la France, il est loin le temps où l'accueil était possible. Fuir son pays en guerre n'a jamais été une solution, tous ces migrants s'ils aimaient leur pays, y seraient restés et défendu. Sachez que vous ne pourrez pas tous les accueillir, nous n'avons aucunement la même façon de vivre. Ce n'est pas parce qu'une certaine élite estime un c'est un bien pour le pays, que c'est la réalité.
P
ouaip ca crains ex au resto du ceurs regarder leur belles voitures a ceux qui i vont actuellement
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L
L'habit ne fait pas le moine.
P
Pourquoi ne pas aller jusqu'au bout de vos propos ? Et ne laisse pas planer le doute. Moi je pisse sur ta prose et sur la flamme.
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L
C'est peut-être lui comme n'importe qui.
L
L'article pour moi est très clair, nous n'avons tout simplement pas la même vision des faits.<br /> Faîtes vos besoins à votre aise.
Z
On dirait du gilles david dans le texte.